Qui suis-je ?

Je m'appelle Raphaël IBANEZ, j'ai créé l'Atelier Pax Cultura en 2007.

Enfant j'étais un contemplatif, le regard souvent absorbé par toute sorte de choses d'un intérêt pourtant très relatif ou du moins très subjectif ! Puis je suis devenu admiratif, tant des tableaux de la Renaissance que de leurs prestigieux auteurs.

C'est à l'âge de 12 ans que j'ai commencé l'apprentissage des techniques de la peinture et du dessin auprès du peintre Marc LIOTARD dans son atelier à Nîmes.

Ne trouvant guère d'échos dans mes études d'art contemporain à la faculté d'Arts Plastiques de Nîmes, ce n'est qu'à l'âge de 20 ans que j'ai découvert le métier de restaurateur et que j'ai intégré la formation de conservateur/restaurateur de peintures à l'Ecole d'Art d'Avignon (ENSAA). Au-delà de l'apprentissage des diverses techniques j'y ai surtout trouvé une philosophie, particulièrement auprès de Robert BOUGRAIN-DUBOURG, alors professeur à l'ENSAA et directeur de l'ONG Restaurateurs Sans Frontières (RSF). Grâce à lui, entre 2002 et 2005 j'ai découvert des cultures étrangères : icônes orthodoxes à Istanbul et au monastère de l'île'Heybeliada dans la mer de Marmara, peintures murales sacrées dans les temples boudhistes de Luang-Prabang et de Vientiane au Laos. Avec RSF, j'ai également participé à des chantiers prestigieux tels que l'Ancien Palais Royal de Luang Prabang au Laos et le Palais du Prince Héritier de Thaïlande à Bangkok. Ces expériences m'ont considérablement nourris.

Parallèlement à mes études je me suis pris de passion pour l'oeuvre du peintre/ésotériste russe Nicolas ROERICH (1874-1947), et notamment pour son action en faveur de la préservation de la culture. C'est en rapport avec le Traité Pax Cultura (aussi nommé Traité Roerich) de préservation des biens culturels en temps de guerre qu'en 2007 j'ai intitulé mon activité indépendante : Atelier Pax Cultura.

C'est cette même année 2007, alors que je démarrais mon activité en tant que sous-traitant pour d'importants ateliers de restauration de peintures murales, que j'ai rencontré le peintre en trompe-l'oeil Michel DEGUIL. Etabli dans le département du Var. Il m'a transmis son savoir-faire avant de partir à la retraite.

Depuis le démarrage en 2007, j'ai alterné des chantiers de création de trompe-l'oeil et des travaux de restauration de peintures murales et de tableaux d'église.  J'ai notamment réalisé les trompe-l'oeil du Casino Barrière à Sainte Maxime en 2019, et, de 2021 à 2023, j'ai intégré l'équipe des restaurateurs des peintures murales du Palais de Monaco.

J'oriente désormais plus spécifiquement mon activité vers la création de trompe-l'oeil et de tableaux.